2024 voit apparaître des monocoques dernière génération aux performances ahurissantes, volant à des vitesses supersoniques. Pour autant, les bateaux plus anciens et éprouvés ont aussi toute leur place dans cette course autour du monde en solitaire, sans escales ni assistance. Depuis la première édition de 1989-1990 remportée en 109 jours par Titouan Lamazou jusqu'à la victoire de Yannick Bestaven en 80 jours en 2021, plus d'une centaine de marins dont près d'une quinzaine de femmes ont pris le départ de ce marathon extrême. De plus en plus international, le Vendée Globe a bâti sa légende sur les tempêtes des quarantièmes rugissants et des cinquantièmes hurlants, les fortunes de mer, les avaries en série, les sauvetages rocambolesques, les drames, mais aussi sur d'extraordinaires défis humains, des victoires éclatantes et des performances inoubliables. De 1989 à 2024, cet ouvrage retrace trente-cinq ans d'aventure, d'évolution technologique depuis les «coffres-forts» des débuts jusqu'aux foilers d'aujourd'hui, ponctués de récits haletants, d'anecdotes exclusives, et qui entretiennent la magie de cette course de légende régulièrement surnommée l'«Everest des mers». Lire la suite Fermer

Monet fait jaillir la couleur, fait vibrer sa toile. Délaissant le détail, il peint des émotions, des impressions. Par dérision, sa peinture est qualifiée «d'impressionniste». Après Bougival, Louveciennes, Argenteuil... il est toujours en quête d'un lieu où poser pinceaux et chevalet, un havre de paix, un jardin de fleurs. Ce sera Giverny pour lequel il se fait jardinier, paysagiste, architecte, coloriste. Son jardin se confond avec sa peinture, ses fleurs deviennent sa palette. En contrebas, de l'autre côté de la route, il acquiert ce qui deviendra son «Jardin d'eau». Sur l'étang, il édifie un «pont japonais» et fait pousser des nymphéas... Le jardin de Giverny, reflet de sa passion et de son génie, est devenu un des jardins les plus connus au monde. Lire la suite Fermer

Gallimard et GEO associent leur savoir-faire pour créer cette nouvelle collection de guides. Des informations culturelles et pratiques, agrémentées de photos. Une sélection rigoureuse et originale d'adresses (hôtels, restaurants, bars, shopping, etc.) et d'activités, pour voyager l'esprit libre et goûter le plaisir de voyager: les adresses, authentiques, reflètent la culture des habitants d'un lieu.
Différentes façons de visiter un pays ou une région en fonction du budget, de la personnalité et des envies du voyageur (adresses pour tous les goûts, à tous les coûts) Géoguide apporte un supplément d'âme au voyage.

L'histoire du yachting voit le jour au milieu du XVIe siècle, mais il faudra attendre le XVIIe siècle à Cork pour que soit créé la première association de marins émérites et de régatiers enthousiastes : le premier yacht-club.
À partir de là, les yacht-clubs fleurissent en Angleterre et dans les colonies britanniques, puis dans le monde entier. Ils ont joué et jouent encore un grand rôle dans le monde de la plaisance et sont devenus les bastions d'un art de vivre «so british». Ce livre présente les plus importants yacht-clubs du monde, du plus ancien, le Royal Cork Yacht Club, aux plus prestigieux qui ont, de près ou de loin, participer à la célèbrissime compétition nautique : La Coupe de l'America, . sans oublier le petit dernier, inauguré à Dubaï en 2007.
Collections de trophées mémorables, personnalités légendaires, propriétaires de yachts magnifiques et marins d'exception vous donnent rendez-vous dans des lieux mythiques comme le New-York Yacht-Club, la Société Nautique de Genève, le Royal Yacht Squadron de Cowes, le Yacht Club de France ou le Yacht Club de Monaco.
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Charles e.
Nicholson (1868-1954) est l'un des plus fameux architectes navals de la grande période du yachting. celle qui a vu naître les bateaux conçus spécialement pour la régate, la jauge internationale - et grâce à elle l'épanouissement de toutes les classes métriques -, la "grande classe", avec ses gréements démesurés, et les nombreux challenges britanniques dans la coupe de l'america. ces années royales correspondent évidemment à ce que nous la belle epoque.
En angleterre, la passion de la voile s'est développée surtout parmi les classes aisées - aristocrates, industriels ou commerçants- voulant tous, comme leur souverain posséder un yacht.
Excellent barreur, il connaissait toutes les subtilités de la régate et les exigences de la croisière. il fut le seul, avec le classe j endeavour, à concevoir et construire un bateau plus rapide que le defender américain, ranger, mais la victoire échappa à l'angleterre pour des raisons qui n'étaient pas de son fait.
Alors que william collier raconte la passionnante histoire de charles e. nicholson et de ses voiliers, on retrouve dans ce livre les plus beaux de ceux d'entre eux qui naviguent encore, dont oiseau de feu et clymène, tous deux battant pavillon français et classés monuments historiques, aux côtés des merveilles que sont le trois-mâts creole, la goélette orion, les grands cotres de la classe j, endeavour, shamrock v, candida, astra magnifiquement photographiés par franco pace au cours d'un travail qui a duré des années et l'a mené aux quatre coins de la planète.
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" Le voyage des longs-courriers consiste en réalité à triompher des circonstances et à vaincre ce qui semble impossible ; c'est une aventure et une échappée romanesque dans un monde où il en existe désormais bien peu.
" Alan Villiers. Le remarquable travail photographique d'Alan Villiers est incontestablement le plus important témoignage mondial de l'histoire maritime du début du XXe siècle - il y exprime son talent et sa vision artistique, tout en relatant la fin d'une époque, celle de la marine à voile. " L'Épopée des derniers Grands Voiliers ", hommage aux ultimes voyages de ces navires et de leurs équipages, est aussi une redécouverte des aventures époustouflantes d'Alan Villiers.

Nous voyageons au coeur de l'énorme et de l'immense.
Le grand bleu de la mer et le grand bleu du ciel. Le grand ocre brun de l'Amazone. Le grand vert de la forêt. Les voiles qui mangent le vent... Un vent fort nous souffle au visage. Il est 2 h 45, ciel sans lune, le pont est noir, et nous allons bientôt quitter l'Amazone, pour retrouver l'Atlantique. Deux grillons ont embarqué avec nous, et leurs stridulations courent par tout le navire comme si la forêt avait voulu nous accompagner en mer.
La nuit offre des instants privilégiés. Dans l'écume que soulève le navire, on entrevoit des caravanes scintillantes, comme si les étoiles s'étaient décrochées du ciel pour nous cligner de l'oeil tout près, là, dans les flots. On dirait des lucioles ou des vers luisants. Accompagner le mythique Belem pour une traversée de l'Atlantique, c'est prendre le temps, enfin, de ne contempler que le mouvement changeant des nuages, la mer qui se creuse et se dresse, le temps qui passe avec le soleil et le vent.
L'Odyssée Atlantique, 10 février - 14 juillet 2002, première traversée depuis un siècle du fameux trois-mâts sur les traces de son passé : Nantes - Dakar - Bélem - Saint-Pierre de la Martinique - Les Açores - Saint-Nazaire.
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